19 04 2018

Les soucieux du respect écologique misent souvent sur les moyens de transport en commun, notamment les navettes, les bus et les trains. Ils présentent, toutefois, des effets négatifs sur la santé des usagers réguliers. Au lieu de s’exposer au risque lié à la conduite de leur propre voiture ainsi que les dépenses y liées, de nombreux travailleurs frontaliers ainsi que des résidents choisissent de monter à bord des moyens de transport en commun. 

Option plus écologique, le transport en commun permet de limiter les émissions polluantes et amoindrit le taux de mortalité sur route. Cette solution protège, en effet, les personnes vulnérables, notamment les personnes âgées et les enfants, d’éventuelles complications respiratoires. Mais elle n’est pas sans conséquences négatives sur la santé physique et morale des usagers habituels. Ils ne sont pas, en effet, à l’abri du stress ainsi que des problèmes de santé y liés, dont l’hypertension artérielle, l’obésité, l’AVC et la dépression.

Pour les usagers habituels des moyens de transport en commun, le stress est encore aggravé par l’anxiété liée aux pannes, aux retards, à l’insécurité, au climat, aux bruits, aux odeurs ainsi qu’aux vulgarités. Selon de nombreuses études menées à l’initiative de l’équipe de l’université de Nottingham ou encore du cabinet technologia, les coutumiers des grandes métropoles, du métro, du bus et du train s’exposent à un risque important de stress par rapport à la normale.

Uber se déplace dans les centres de soins avec un service de transport dédié Baud : service de transport à la demande en cours