12 06 2017

Le 16 mai 2017, Marie-Anne Paquette, Juge de la Cour supérieure, a fait une mise au point sur les droits et faits qui méritent d’être traités d’urgence. Bien sûr, les demandeurs subissent aux conséquences préjudiciables qui affectent surtout leur droit à la sécurité et la dignité. Ils ne peuvent pas jouir d’un même droit que les individus normaux.

Une action collective est désormais accessible à toute personne habitant au Québec et présentant un handicap physique. Cette aide est généralement offerte aux individus non voyants ou aux personnes utilisant un fauteuil roulant, qu’il soit motorisé au non. Selon Linda Gauthier, présidente du RAPLIQ, le moment est enfin venu pour que l’on écoute les requêtes des handicapés. Elle  n’a pas non plus oublié de souligner lors d’une conférence de presse que les efforts menés à l’initiative de la STM auparavant n’ont pas pu porter leurs fruits. Les projets et les actions prévus n’ont pas pu être menés à bon port.

À titre de rappel, la requête du RAPLIQ a été faite en 2015. À l’époque, les personnes présentant un handicap ont été presque omises, sachant que seulement environ une dizaine de stations de métro et 9 gares de train de banlieue sont pourvues d’ascenseur. Il est désormais grand temps pour les décideurs politiques de prêter plus d’attentions aux  handicapés, selon la présidente du RAPLIQ.

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